Justin Bieber n’a eu que ce qu’il méritait, c’est cheh pour sa gueule !
Pourquoi tant de manque d’empathie, me diriez-vous ? Eh bien, je vais l’expliquer :
Bieber a voulu se faire adouber par ces racailles blacks, se viriliser de façon à être validé par "la street credibility", mais il y a un revers de la médaille à vouloir jouer un bad boy, de la thug life, c’est tout juste bon à faire mouiller la culotte de la p’tite bourgeoise blanche qui achète et écoute ses disques. En adoptant leur propension à la défonce : alcool et drogue, on finit telle une vulgaire biatch black en string dans un videoclip de rap. Bieber a merdé, au lieu de rester avec son groupe racial, et chanter de la pop inoffensive, il a donné l’occasion à ces sales types de lui faire subir toutes sortes de sévices, surtout qu’ils sont habités d’un fort ressentiment envers les blancs. Ils n’ont pas gâché leur plaisir d’avoir leur "bacha bazi" blanc. Ils devaient jouir de pouvoir tourmenter cet être faible et innocent, comme ils aiment torturer un chaton ou un chiot. En empruntant tout le look et les gimmicks des rappeurs blacks : Chaîne en or, casquette sur le téco, tatouages, signes de gang, les "give me five man", les hugs, les "yo bro !" Il s’est emmuré l’esprit dans une prison bien glauque. Quand il suce symboliquement le "caïd" ou son "mentor" P. Diddy, il faut envisager qu’un jour celui-ci l’exige, littéralement. Bieber connaît le destin des White Nigger, détesté par les blancs parce qu’il se prend pour un noir, et méprisés par les noirs parce qu’il est blanc. Pas étonnant qu’il finisse tel un trou pour taulard, bon à faire les pipes et le café. J’ai entendu dire quelque part que 80 % des détenus américains ont été violés en prison, comme l’aurait été le rappeur DMX.