Pourquoi n’a-t-il plus d’ingénieur en France ? Exemple d’Atos, un groupe d’incompétents au niveau de la direction, résultat d’une fusion, dans les années 2000, avec Sema groupe, très bon dans l’ingénierie logicielle et donc seuls les manager d’Atos ont pris les postes de direction (commerciale).
Puis, après des rachats de startup en pagaille, le goupe est valorisé au CAC 40 à 7 milliards d’euros. Son conseil d’administration avec Thierry Breton, présente des bilans gonflés car les entreprises rachetées sont des coquilles vides, derrière toutes ces fusaq, on retrouve les mêmes : Rothschild & Co et les cabinets de conseil comme McKinsey et d’autres encore.
Aujourd’hui la valeur boursière s’est effondrée à 200 millions d’euros.
Édouard Philippe a intégré le conseil d’administration en mai 2020 pour garnir ce tas d’incompetents pour ne pas dire autre chose.
Et c’est l’État qui risque de récapitaliser car cette entreprise possède comme clients des Dassaut, Thales... donc des secrets industriels militaires Français et notamment la cybersécurité des JOs.
Voilà l’ingénierie en France ne vaut rien : tous les bons ont fui Atos.