Saidali Boina Hamissi, le candidat RN mahorais qui détruit la bien-pensance
24 avril 14:38, par SedetiamAh oui, le sic était de rigueur, nous aurait dit Bescherelle.
Mais le gaillard insulaire voulait peut-être évoquer la docilité plutôt que la soumission : c’est à dire que la langue française étant ce qu’elle est, les synonymes relèvent de plusieurs degrés et du niveau d’éducation culturelle. La culture étant aussi et parfois l’émanation du cultuel, voire de la tradition.
Par chez moi, les femmes de mon entourage sont-elles à la fois elles-mêmes, dociles, soumises par jeux consentis, ou soumettent-elles leurs points de vue, avis et opinions à ma sagacité parce que, comme au regard de types, je dispose d’une aura, de compétences, d’un leadership, dont actes sur le temps long, qui le permettent. L’égalité (entre homme-homme, homme-femme) ne demeurant que celle des droits, ces derniers dépendant de la Loi, de ses amendements et de sa jurisprudence. Bref, de toute la merdasse localisée, temporelle et à géométrie variable dont nous lui préférons les vertus immuables, universelles et intemporelles : car les lois, nous l’avons vu, elles se pondent comme elles s’abrogent, de la simple volonté des bipèdes qui en décident les co tours. Quant à l’application...
Du reste et pour la boutade valant emploi des termes : combien de gugusses soumis aux migraines de leur dulcinée ? Ce qui n’existe pas chez le polygyne... hein, les bien-pensants ! ;-)