Washington vient de voter l’aide de 61 milliards de $.
Les USA continuent leur impérium malgré leur effondrement moral et financier.
Poutine l’avait anticipé. J’en veux pour preuve qu’il n’accorde pas plus de crédit à Biden qu’à Trump. En l’occurence, ce sont les Républicains qui ont voté l’aide.
Il faut prendre en compte également le dessous des cartes avec l’émergeance de l’axe Washington-Londre-Varsovie-Kiev au détriment de l’axe Paris-Berlin comme ligne de force stratégique qui a concouru au déblocage de l’aide militaire américaine.
Côté Russe, Poutine a étudié sa capacité militaire en foncttion de sa démographie dans la durée. Il peut faire la guerre pendant 5 ans, c’est à dire qu’il a encore 3 ans de réserves humaines pour remporter la victoire tout en ménageant sa population.
Vladimir Poutine a le soutien de son peuple et joue la survie de sa fédération à 100 km de ses frontières nationales quand Washington remet un jeton dans la machine à perdre à 8500 km du front.
Côté occidental et plus particulièrement français, contrairement à ce qu’affirme Guillaume Ancel par exemple, le front ne se renversera pas avec cette nouvelle aide parce que si l’Ukraine aura du matériel et des munitions, elle n’aura pas les effectifs dans la durée.
Là dessus, je rejoins le général Lecointre, si on veut faire la guerre, on désigne l’ennemi et on envoie des troupes au sol. Ce que ne fera jamais l’Occident quand bien même Macron gesticule un temps pour se sortir de l’épisode désastreux du Salon de l’Agriculture.
Comme d’hab, le gamin pique sa crise faute de s’être pris une baffe par sa mère, Chibritte !