Le professeur Christian Perronne lance un appel !
4 avril 2024 02:40, par RrexXsuite
L’anglais est de mise désormais, la directrice est toujours française (pour la galerie et parce que la France offre un bel hôtel particulier pour le siège), les juristes anglo-saxons ont pris le pas sur les vétérinaires, dont les concepts ont été dilués dans un fatras de textes et de règles à l’américaine, pour faire place nette à l’émergence préparée de One Health depuis une dizaine d’années .
Bill Gates s’est glissé tranquillement dans la partie informatique de l’édifice, tandis que les séminaires sur le bioterrorisme (le dernier au Maroc) sont omniprésents. Tout se passe comme si notre avenir est le bio-terrorisme, à moins que nous ne le sachions pas encore ?
En résumé nous sommes passés de l’OIE au service du bien commun à One Health au service du bien de quelques-uns, grâce à la mise en place de normes et de protocoles savamment distillés dans le temps. Le temps long.
Ces officines sont noyautées par les nervis du système (souvent membres des minorités agissantes qui nous gouvernent également) , qui orchestrent l’activité de bataillons d’esprits brillants le plus souvent inconscients de ce qui se trame au-dessus d’eux, tout occupés qu’ils sont à très sincèrement sauver le monde.
Alors que faire ? Ne pas répéter les erreurs du Covid et refuser l’inacceptable. La mise en place de One Health, porte d’entrée pour une gouvernance sanitaire globale dans l’intérêt des peuples bien sûr, ne s’est pas faite en un jour. Ce concept a priori séduisant porte en lui outils de la tyrannie qui vient, cheval de Troie de la science sans conscience, inféodée aux puissants. La grippe avaire (avian flu) refait surface avec des cas humains sévères, ainsi que la monkey pox et autres joyeusetés. Ce n’est jamais fini, c’est un harcèlement épidémiologique fondé ou non, destiné à entretenir cette soumission programmée au système sanitaire global.
L’humanité a survécu depuis ses origines aux pires épidémies et sa population atteint des sommets. Qu’il convient de remodeler sur fonds de réchauffisme et de dysphorie de genre, en utilisant les forceps nécessaires, ce qui suppose une forme de coopération voire de soumission de la part du peuple qui n’y comprend mais.
Et si nous renversions la table tout simplement ?