Le professeur Christian Perronne lance un appel !
4 avril 2024 02:37, par RrexXLe professeur Perronne à raison d’alerter sur ce sujet de tentative de prise de pouvoir absolu par une autorité sanitaire supranationale.
Projet rendu possible par l’invention du concept "One Health" (Une Seule Santé) qui établit que la santé humaine et animale sont étroitement liées dans un monde surpeuplé où la promiscuité et les déplacements favorisent la dispersion et l’enracinement de toutes formes de saloperies. C’est d’une banalité affligeante puisque c’est tout simplement l’histoire de l’humanité.
Sauf que maintenant One Health devient le "rayon paralysant" qui va permettre de gérer au mieux cette tyrannie qui s’installe. One Health repose sur deux socles autrefois distincts : L’OMS et L’OMSA (WHO et WHOA) avec "A" pour Animal. Ces deux organisations étant conçues pour gérer dans leurs domaines respectifs les problématiques sanitaires tant du point de vue local que mondial. Avec pour le WHOA une composante économique affichée, en lien avec l’OMC (Organisation mondiale du commerce) afin d’optimiser les revenus des éleveurs à condition qu’ils se plient à une règlementation stricte venue d’en haut. Réglementation ancrée dans un arsenal législatif très fourni, sous forme de "lignes directrices" comme autant de balisages au sol pour contenir le covid. Cet arsenal est le fruit d’un empilement de strates législatives successives qui ont permis bon an mal an de réguler et protéger les échanges commerciaux concernant les denrées animales et de favoriser ainsi l’essor d’une économie à peu près prospère dans des pays peu enclins à respecter les règles en la matière. Ce travail colossal à longtemps été le fruit de vétérinaires secondés par des juristes pour la mise en forme. A l’époque où l’OMSA s’appelait encore l’OIE (Office International des Epizooties, épizootie désignant une épidémie entre animaux) et dont la langue officielle était le français, et le siège situé à Paris. Cet OIE a été créé avant l’ONU et la SDN, et regroupe la quasi-totalité des pays du monde.
Des vétérinaires brillants y ont développé des concepts de gouvernance mondiale chiadés dans l’intérêt des peuples, avec la foi des pionniers. La direction de l’OIE ayant toujours échu ou presque à un français. Ça c’était hier....,