ne nous privons pas
Lors d’un débat organisé sur BFMTV ce 19 mars 2024 l’ancienne ministre Ségolène Royale a fait un lien étonnant entre la transidentité et les perturbateurs endocriniens.
Sur le plateau de BFMTV, les discussions portaient sur la future proposition de loi de sénateurs LR qui veulent interdire aux mineurs d’effectuer une transition de genre. Invité, Olivier Vial, directeur d’un laboratoire d’idées positionné contre "l’idéologie woke", a expliqué que la dysphorie de genre (détresse des personnes dont l’identité de genre diffère du sexe attribué à la naissance) était en augmentation de plus de 2000 %., ca commence bien !
interrogée sur cette "augmentation" des cas de transidentité, Ségolène Royale, également invitée, a donné une explication surprenante. Selon l’ancienne ministre, ils seraient "dus" à une exposition au glyphosate et aux perturbateurs endocriniens qui bouleverseraient également "le cycle hormonal."
Un lien "très direct" et bien "prouvé", existerait donc entre les deux et "ce sont des hypothèses de recherche à ce stade" affirme t elle
là s’en est trop !!!
heureusement, amar emmanuelle, a pu rattraper l’incontrolable, elle qui pourtant lançait l’alerte en 2018, des bébé nés sans bras
C’est une question qui intéresse les sociologues, pas les médecins
Selon l’épidémiologiste, "absolument aucune étude, à sa connaissance, n’a mis en évidence un lien entre une substance quelconque et le fait que des personnes ne se reconnaissent pas dans tout ou partie du genre assigné à la naissance"
l’eternel distinction entre concomitance et causalité, celle qui va bien dans un sens mais jamais dans l’autre
2000/100 quand même, merde !