Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...
13 février 2024 03:31, par Rt
Nous devenons progressivement des machines à regrets, notre propre nature en partie animale deviens la chose à abandonner, nos pulsions ne sont plus jugées par le prisme de l’église, mais par le capital et par sa représentante déguisée, travestie en femme libérée vêtue de pourpre, aux dents effilées. Demain nos sens ne seront plus, remplacés entièrement par les dictats du marché, qui ne souhaite qu’une seule chose, nous forcer à nous voir comme des bêtes regrettables. Après le jugement, nous deviendrons enfin des envelloppes, sans sexe, sans sentiments, sans défauts, entièrement lisses et froides comme l’acier.