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Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

Nous sommes en 2010, Judith Godrèche est l’invitée de Catherine Ceylac (madame Claude Sérillon à la ville, proche de François Hollande) dans son émission matinale Thé ou café.

Catherine  : Qu’est-ce que vous recherchiez auprès d’un homme beaucoup plus âgé que vous ?

Judith  : D’abord, c’était quelqu’un d’extrêmement séduisant. (...) Alors ensuite évidemment qu’il avait énormément d’influence sur moi, et que j’étais quand même sous son emprise en quelque sorte, mais c’était une emprise extrêmement inspirante, extrêmement, euh, euh...

Catherine  : Un pygmalion !

Judith  : Un pygmalion, ouais.

Non, rien.

 






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93 Commentaires

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  • #3320313
    Le 10 février à 00:01 par Jean-jacky
    Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

    "Être sous emprise", avant ça s’appelait "être amoureux".

    Soit ! Il doit y avoir un coup à tenter :

    "Oui Monsieur le Juge, il y a 20 ans j’ai bien acheté ces bijoux hors de prix à ma femme, et même une Mercedes cabriolet.
    Mais comprenez, j’étais sous son emprise !
    J’ai donc déposé plainte et j’aimerais tout récupérer maintenant..."

     

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    • #3320539

      Excellent commentaire oui, Etre sous emprise est une manipulation sémantique pour oublier le terme "éprise", terme permettant beaucoup moins d’interprétations et de réparations, financières ou/et symboliques .
      Les hommes pourraient effectivement, devant un tribunal pour en montrer l’absurdité, évoquer la même "fragilité" concernant leurs dépenses.
      Bien vu .

       
  • #3320400
    Le 10 février à 08:24 par Dream13
    Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

    Oui mais à un moment le mec, lui, il peut se raisonner, non ? Ou alors s’illusionner sur son pouvoir de séduction, parfois réel et normal, un homme est plus séduisant à 40 ans qu’à 18, ou sur son pouvoir tout court, socialement, dans ce cas il faut l’assumer, quant à la fille, nous savons tous très bien, qu’on est pas sérieux, quand on a dix sept ans ! Autrefois la sagesse appartenait aux " adultes" , et aujourd’hui, on va dire, c’est de la morale ! Oui c’est bien de la morale, et alors ?

     

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    • #3320495

      Oui mais à un moment le mec, lui, il peut se raisonner, non ?



      Non il est sous emprise.
      Hop ! Chat perché, échec et mat, et kamoulox.

      Sérieusement mesdames, c’est pas parce que les commentaires sont le plus souvent lourdingues sous les articles anti-féministes, qu’il faut jouer aux connes de votre côté.
      YA rien à retenir de cette arnaque à l’assurance, ne remettez pas une pièce dans ce mauvais sketche : c’est mal joué, mauvais scenar, mauvais dialogue, point.

       
  • #3320409

    Lorsqu’on est en fin de carrière ,on tente de récupérer un petit billet avec des histoires de viols .Il parait que c’est très tendance de nos jours .

     

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    • #3320472
      Le 10 février à 11:01 par karnakohm@yahoo.fr
      Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

      Je pense que c’est surtout qu’elle se remémore ce pouvoir de séduction qu’elle avait et qu’elle n’a plus. Elle revit son passé en quelque sorte avec l’amertume d’une decatie

       
    • #3320560
      Le 10 février à 15:14 par Dream 13
      Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

      Non, c’est faux, en France on ne récupère pas de petits billets pour avoir dit qu’on s’est fait violée, on est pas aux USA où là effectivement on peut " s’arranger" à coups de milliers de dollars !

       
    • #3320614
      Le 10 février à 17:18 par Phiddipidès
      Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

      Dream13, parce que vous pensez sérieusement qu’elle vient bénévolement sur les plateaux ? Et que son soudain regain de visibilité médiatique n’est pas monnayable dans le cadre d’une carrière au point mort ... voire en état de décomposition avancé ?
      Bon, je vais faire quelque chose que je fais très rarement, je vais sortir ma boule de cristal du buffet de la cuisine. Qu’y vois-je ?
      Je me lance : ... roulement de tambour ... "dans un délai de 3 à 5 ans, je vois une production financée par le CNC, donc nos impôts, dont le scénario débile et mal foutu portera sur les abus sexuels dans le monde artistique. Dans le premier rôle, Judith Godrèche qui, grâce aux techniques numériques de pointe, tentera d’apparaître comme ayant 18 ans à 60 ! Cachet négocié : aux alentours du million d’euros, c’est pas cher, c’est le contribuable qui paye dirait le gros Hollande.
      Nombre d’entrées : 17,5 un malotru ayant quitté la salle après le projection des pubs.
      Bien entendu, l’année suivante, César de la meilleure vieille jeune actrice remis par Corinne Masiero qui, cette fois, nous épargnera la vue de son cul flasque !"

      Merci, combien vous dois-je ? Rien, c’était pour le plaisir ! De rien !

       
  • #3320474
    Le 10 février à 11:17 par Cynthia
    Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

    Certes, Judith n’a pas inventé l’eau chaude, mais elle est parfaitement en droit de régler ses comptes. À 14 ans ans, une jeune fille est réglée depuis un an au maximum et n’a pas fini sa croissance. On n’a pas de relation consentie avec un homme de 40 ans à cet âge-là.

    À l’heure où le lobby pédophile tente de brouiller les cartes sur l’âge du consentement au sommet de l’État, toute action en justice visant à rappeler les limites en matière de relations avec les mineurs est bienvenue !

     

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    • #3320863
      Le 11 février à 12:17 par Alençon
      Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

      absolument d’ accord avec toi..
      la différence d’ âge dans un rapport sexuel n’ a pas du tout la même importance selon qu’ on soit immature ou pas , et on ne peut reprocher à un/e enfant de l’ être (alors qu’ à un adulte , on peut lui reprocher un excès de naïveté) .
      pour un ado , quelqu’ un qui a 5ans de plus est un vieux , alors 20 ou 30ans de plus c’ est un ancêtre.. c’ est dégueu !
      les enfants doivent être protégés , hélas ils sont livrés en sacrifice à tous les lobbies au pouvoir.. à commencer par l’ ogre de la consommation .

       
    • #3321650
      Le 12 février à 22:07 par Amelie61500
      Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

      Tout à fait d’accord, les auteurs des commentaires du genre "Elle veut juste relancer sa carrière" oublient qu’à 14 ans, on est une gamine, et qu’il est juste hallucinant qu’à l’époque, aucun adulte (à commencer par le père de Judith) ne se soit interposé. L’actrice ne parle pas que de viols, elle parle aussi de coups de ceinture, on va dire qu’elle l’a cherché aussi ? Oui, beaucoup d’actrices se découvrent un passé traumatique parce que beaucoup de cinéastes ont considéré que le cinéma était le paravent idéal pour laisser libre cours à leurs désirs pervers. Jacquot le dit lui-même d’ailleurs.

       
  • #3320493

    La violence fait partie du sexe (quand il est pratiqué en tant que sexe)
    La psyche humaine, et notamment féminine, est faite d’emprises
    je dirais même que cela fait partie du désir qui lui est attaché
    (une femme se fait posséder par l’acte même ; et l’homme assouvit ce besoin de possession, dont les us antiques découlent naturellement : jalousie, contrôle, ceinture de chasteté ;)
    Donc on a désormais des femmes (je parle pas de la Godemiche, mais de toutes les femmes prétendant se souvenir d’un consentement confus, d’abus, ou d’emprise) qui se sentiraient désormais incapables d’un qqconque rapport avec l’altérité (si on les prend au mot), càd qui sont en conflit avec leur propre désir, leur psyché naturelle, qu’elles renient soit par opportunisme, soit du fait de la ménopause ou du vieillissement (baisse de libido), pour se racheter une pureté conforme à leur sentiment présent ?

    on va tout droit vers une génération de lesbiennes si ça continue

    C’est comme si les hommes se mettaient à regretter un désir de leurs 20 ans en prétendant qu’ils étaient sous l’emprise des formes charnelles féminines (sous-entendant que ce serait un fonctionnement anormal du désir), ou qu’ils se sont sentis violés parce que désormais, aujourd’hui, une pipe les dégouterais, ou bien que le "mépris" nécessaire à bander devant une femme aimée a finalement été un traumatisme qu’ils n’assument plus, et dont ils accuseraient la belle..

    Tout ça parce que vous avez refoulé le religieux
    vous avez refusé la Genèse, la Chute, la nature blessée, qui rend tout ordonné et intelligible.
    du coup vous ne comprenez plus que la débauche de votre jeunesse, présentée comme une libération à l’époque, vous revienne en pleine tronche une fois entré dans la sagesse (ou l’impuissance) de l’âge.

    Oui il peut y avoir quelque chose de violent, d’animal, d’aliénant dans la sexualité. A 20 ans ça vous excite, à 50 ça vous écœure (ou disons que vous n’en avez plus les moyens donc passez à autre chose par nécessité), mais personne ne vous a dupé, c’est le sexe qui est comme ça sur terre, et ça ne changera pas. Le renouvellement de l’espèce en dépend !

    Rappelons l’agenda mondialiste : tout faire pour que les hommes et femmes se tournent le dos définitivement.. Décroître démographiquement, distinguer sexe et reproduction, détruire notre nature, et concevoir la géniture artificiellement selon un cahier des charges rédigé par nos élites puritaines.

     

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  • #3320672
    Le 10 février à 20:35 par Jean-jacky
    Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

    Est-ce qu’un producteur de cinéma ruiné, ou un réalisateur désormais sur la touche, peut porter plainte contre une piètre comédienne à qui il aurait cédé un rôle, sous l’emprise de son joli postérieur ?

    Ça fonctionne aussi dans ce sens ?

    Ou pas ?...

     

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  • #3320874
    Le 11 février à 12:51 par Blaise Massicot
    Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

    Elle n’avait pas de parents ?

     

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  • #3321388

    Judith aimait la bite ...mais maintenant elle aime l’argent !

     

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  • #3321715

    Nous devenons progressivement des machines à regrets, notre propre nature en partie animale deviens la chose à abandonner, nos pulsions ne sont plus jugées par le prisme de l’église, mais par le capital et par sa représentante déguisée, travestie en femme libérée vêtue de pourpre, aux dents effilées. Demain nos sens ne seront plus, remplacés entièrement par les dictats du marché, qui ne souhaite qu’une seule chose, nous forcer à nous voir comme des bêtes regrettables. Après le jugement, nous deviendrons enfin des envelloppes, sans sexe, sans sentiments, sans défauts, entièrement lisses et froides comme l’acier.

     

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  • #3322374
    Le 14 février à 14:36 par Bertrand
    Quand Judith Godrèche évoquait Benoît Jacquot en 2010...

    Jacquot le dit explicitement, le cinéma est un moyen d’assouvir leur pédophiie en plein jour sous couvert d’Art.

    Que dire de plus ?

    Et puis Godrèche en parlait déjà dans les années 90 dans son livre.

    Beaucoup de critiques à apporter au féminisme contemporain mais ces hommes sont indéfendables et finiront tous dans les poubelles de L’Histoire.

     

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