Dans le sempiternel interrogatoire judéo-israélien de police politique chargée du flicage de la pensée goy, on a aussi droit au numéro du méchant flic sioniste (suprémaciste étanche dispensé de toute forme de compassion surfant sur les vagues de sang de palestiniens "exterminés par leur haine du colonialisme juif") et du gentil flic sioniste (la rareté d’un diamant victimaire faisant du patin à glace émotionnel sur un océan de sang mémoriel coagulé par "la haine").
Avec ses juifs qui ont le mérite d’être juifs, au milieu d’arabes et de noirs qui ne sont même pas français, le film reste sur la ligne SOS Sionisme tracée à coup de milliards d’argent public par "la gauche caviar couscous boulettes" dans les années Mitteuses de la conscience politique française.
En ce qui me concerne, ça ne prend plus ce numéro de cirque à deux clowns, je boycotte tout ce qui participe de près ou de loin au recel sioniste, et tout ce qui joue sur la corde victimaire de la minorité agissante perchée sur le mirador de sa tour d’ivoire médiatico-cinématographique.
Au final, éviter les produits industriels ultra-transformés pleins d’exhausteurs de bon gout et de doucereuse culpabilité, cela vaut pour les aliments du corps et de l’esprit, c’est préserver sa santé physique et mentale.