Kadyrov montre à Scott Ritter la formation de 25 000 combattants tchétchènes à Grozny
8 janvier 2024 10:21, par Szczebrzerzyszczykowski
C’est plaisant d’entendre un Américain parler le Russe, on entend tellement l’inverse !
Moi qui ai appris le Russe contraint et forcé (dans la "démocratie populaire" où je suis né et grandi, jusqu’à 1989 c’était obligatoire du primaire jusqu’au bac, à raison de plusieurs heures par semaine) je ne le regrette TELLEMENT PAS ! (alors que beaucoup de mes compatriotes le regrettent et d’ailleurs c’est un des premiers trucs qui ont été supprimés dès la rentrée de 1990, ou 1991).
L’apprentissage d’autres langues était, il est vrai, squelettique à l’école, mais mes parents m’envoyaient prendre des cours d’Anglais chez une vielle dame, une comtesse dont le manoir et les terres avaient été "nationalisés" ; quant au Français, je l’avais à la maison avec ma mère, qui avait été fille-au-pair à Paris VIIe en 1969-70.