Russell Brand, la fin annoncée d’un curieux dissident
11 octobre 2023 05:47, par retournons la veste
Sauf si elles sont trop jeunettes (moins de 18 ans dans nos contrées infantilisées) ou ont été droguées à leur insu ou réduites par la force physique ou d’une arme, les JF "violées" ont leur mot à dire quand un type riche ou célèbre prétend attaquer leur honneur.
Si elles consentent à contrecœur, si ça les dégoûte quand elles s’en souviennent, si elles y reviennent, c’est peut-être qu’elles y espèrent ou y ont trouvé un intérêt. L’affaire alors devient un marché où chacun cherche une rétribution.
Parce qu’on peut imaginer l’inverse : un brave type qui s’est fait avoir sentimentalement par une calculatrice, qui lui a donné son cœur et l’a prise pour la Madone, s’associe avec un club de rejetés pour attaquer via les médias leur commune et cruelle illusionniste, sur le thème : j’ai cru qu’elle m’aimait, mais c’était du pipeau ! Elle ne lésinait pas sur le rouge à lèvres et les faux cils ! Elle venait m’aguicher en nuisette ! Elle me jouait des castagnettes ! Alors que je n’étais que son coffre à magot ! Ou son déversoir à problèmes ! Son psy bénévole ! Son réparateur de voiture ! Son gros payeur de restau, dont elle se gaussait ensuite !
Et voilà une riche actrice sur le retour traînée dans les fanges médiatiques et sommée de compenser des souffrances passées depuis ses comptes aux Bahamas. Des hommes mûrs se souviennent et répandent des torrents de larmes face aux juges tout attendris.
La madame n’en mène pas large et se défend : non, non ! C’est lui qui voulait !
La vilaine.