le roman du "réchauffement d’origine humaine" est un argument qui doit permettre de mettre en place une politique malthusienne de contraction des forces productives (énergie, population, intelligence, etc.) afin d’accompagner l’effondrement du capitalisme (au moins en Occident) sous l’action de la baisse tendancielle du taux de profit (les manipulations monétaires et les gains de productivité ne suffisant plus à rattraper le coup).
Le scénario écologique permet aussi de réaliser un nouveau bon en étendant le champ du comput capitaliste à l’écosystème lui-même (l’ensemble des "ressources inertes et vivantes").
Cela permet en outre de justifier une gouvernance supra-démocratique ("les peuples zégoïstes ne sont pas capables de sauver la planète").
Cela se coordonne avec la transition électro-numérique (optimisation des échanges, quitte à rigidifier le système... encore une fois, la valeur théorique de l’optimisation électro-numérique des échanges masque mal la perte de valeur réelle de l’économie par la décarbonation et la rigidification informatique... mais sur les chiffres au global ça donne illusion).
Enfin l’inclusion qui remplace la méritocratie. L’économie, passée de l’extensif à l’intensif, passe maintenant à la gestion de la pénurie et du déclin... les zhandicapés, les zassistés, les zimmigrés, les bouffeurs de malbouffe, les vaccinés, etc. rapportent peu individuellement, mais beaucoup collectivement par le prise en charge de leurs besoins (nourriture et eaux-usées).