Ce qui m’étonne le plus, c’est que personne ne voit que les élections présidentielles sont, de toutes évidences, truquées.
Il n’est pourtant pas difficile de comprendre que, puisque c’est le ministère de l’Intérieur qui est censé faire le décompte final des votes qui lui sont envoyés par les région, il peut faire n’importe quoi, puisque personne ne contrôle le décompte du ministère.
Entre parenthèses, il a été dit que le ministère envoyait les votes au Texas, à Austin, et que c’est là-bas que se faisait le décompte. Est-ce vrai ? Pourquoi cette bizarrerie si c’est vrai.
Il est facile, grâce à un logiciel dédié à cela, de refaire la répartition des votes, pour faire émerger les candidats voulus par les néocons.
On peut déduire qu’au premier tour en particulier, ils choisissent leur candidat et l’épouvantail qui lui sera opposé au second tour, puisque c’est le scénario que l’on constate à chaque fois.
D’ailleurs, des indices flagrants montrent l’arnaque. En 2017, par exemple, on sait qu’un village avait voté presque entièrement pour François Asselineau. D’après le « dépouillement » officiel du ministère, ce village avait voté presque entièrement pour Mélanchon. Comment expliquer ce phénomène ? De même, une autre fois, il me semble qu’un arrondissement de Lyon n’avait pondu aucun vote blanc. Devant l’étonnement, le ministère avait recompté ou corrigé l’impossibilité, et avait finalement attribué un certain nombre de votes blancs à cet arrondissement. Comment accepter cette comédie ?
Et puis, lors du second tour de la dernière élection, l’épouvantail caracolait confortablement vers la présidence, jusqu’à ce que son nombre de voix se mette à décroître ! Faut-il croire que les gens retiraient leur vote ? Non, rassurez-vous braves gens, il paraît qu’il y a eu juste un bug informatique.