Le poudré sait que les profs (et l’éducation nationale en général) vote à gauche... selon sa duplicité habituelle, le sale gosse tente de séduire ceux qui ont cru qu’il portait les "valeurs d’une gauche centriste" !
Et comme les esprits de gauche (à l’instar de la vraie extrême droite parfaitement réidisuelle en France) sont conditionnés façon Pavlov selon l’équation gauche = bon, juste et gentil, ils seront certainement sous le charme vénéneux du gosse pour une grande partie.
Il convient cependant de ne jamais perdre de vue que le profil psychologique du poudré se caractérise par la soumission intégrale, presque obsessionnelle, à ces maîtres payeurs, par un entêtement névrotique (se souvenir de ce qu’il "aurait" répondu à Brigitte lorsqu’il se séparèrent le temps qu’il finisse quelques études à Paris : "quand je reviens, je t’épouse !".
Ajoutons que cet homme ne sait pas ce que c’est que d’être père (et donc encore moins Père), qu’il ne sait pas ce que c’est que d’avoir "la chair de sa chair" en danger, qu’il est infoutu de tenir une arme et que si on le déposait sur un champs de guerre en vraie, il ch.... rait dans son froc en appelant Brigitte.
Il use donc, comme tous les pervers avéré, de charme, de séduction, de discours ambigu, de rodomontades de petit caïd en cravate et de fascination pour les vrais puissants sans scrupule.
En conclusion, nous n’avons pas fini d’assister de la part de cet énergumène à toutes sortes de retournements douteux, de phrases mielleuses, de manipulations puantes. C’est inscrit dans sa structure même. C’est pourquoi, les manifestations n’aboutissent jamais car avec ce genre de tyran matiné de sirop artificiel seul un coup de force massif pourra le chasser.
J’dis ça, j’dis rien...