Tant qu’on acceptera pas qu’on puisse ressentir, ne serait qu’un instant, une attirance pour l’autre sexe même très jeune, tant qu’on acceptera pas que les enfants et ados peuvent avoir des désirs sexuels, on sera vulnérables et manipulables.

Notre cerveau reptilien est assassin, voleur, violeur, égoïste, manipulateur, mort de faim et un pervers sexuel. Il ne connaît aucune limite si ce n’est la menace de mort d’autant plus immédiate qu’elle n’est pas certaine.
Tout ce qui répond à nos besoin primitifs est envisagé dans cette couche plus ou moins profonde de notre psychisme.

C’est la définition même d’un Démon : Une composante mentale ignorée. Selon la faiblesse morale d’une personne et la provocation à laquelle il est soumis, il peut craquer.

Ce genre de BD est une provocation au fantasme. On parle du Japon, là bas la pédophilie est très clairement exploitée pour détruire la classe laborieuse mâle : Le vice dans les manga va jusqu’à faire du héros, celui à qui on s’identifie donc, un adulte réincarné dans un enfant. Dés lors si il tombe amoureux d’une petite fille comment faut-il le considérer ? Cette situation n’existe pas dans la réalité, c’est juste une prétexte pour permettre de fantasmer sans culpabiliser, de banaliser. Il y a aussi le garçon qui devient fille dans une autre vie, là c’est pour créer des vocations trans-sexuelles à défaut de pédophiles.

Le problème est un problème de société, de tabou et de manipulation concertée mondiale et protéiforme, dont ce genre de BD fait partie, qu’elle ait été initiée ou simplement instrumentalisée pour exciter les 2 pôles aimantés opposés, répulsion et attirance, pour créer ce moteur, probablement le plus puissant, d’ingénierie sociale, qu’est la pédophilie.

Faire tomber l’élite et la plèbe dedans avec ce genre de média associé à des opportunités, menacer l’élite en sanctionnant la plèbe à grands bruits. Surtout que plus le minable de base ressent des pulsions, plus il les rejettent profondément et plus il est violent et emporté, et donc instrumentalisable, sur le sujet (bouc émissaire)