La vraie richesse pour moi, c’est le temps libre.
Ce qui est triste, c’est que la grande majorité des RSAistes ne profitent pas de ce temps pour se cultiver et se former, au moins en autodidacte, sur des métiers utiles, pas forcément rémunérateur, mais qui ont du sens.
Rien n’est perdu dans la vie, il faut se bouger le cul, et arrêter de se larmoyer sur son sort.
Mais il est vrai que parfois, plusieurs incidents de parcours se cumulant, il est impossible de remonter la pente sans une aide extérieur.
Etre au RSA volontairement est un différent, vous cumulez pendant vos droits restants , en cas de reprise de travail, RSA + salaire, intéressant mais ça ne vaut pas un travail à temps plein sur l’année, et c’est assez précaire comme situation, mais j’en connais qui s’en accommode plutôt bien. Ils n’ont pas d’enfants aussi.
Au RSA, rien ne t’empêche de faire du woofing, tu apprends pleins de choses, tu voyages sur différentes exploitations, tu es logé et nourrit en échange de ta force de travail, tu rencontres pleins personnes intéressantes. Et j’imagine que si tu es déjà en woofing, on ne viendra pas te les briser pour bosser à l’oeil.
Il y a tellement de chose à faire, je ne comprends pas que les RSAiste, se plaignent, tant qu’ils ont la santé, sinon ça se complique d’un coup !
Le temps libre, avec internet et tout le savoir disponible, est un luxe que les travailleurs n’ont pas, alors les RSAiste profitez en pour changer vos vies, vous déprimerez moins et quand on étudie, on ne claque pas beaucoup d’argent. (à part dans les livres)