Ce dont ils ou elles ne se rendent pas compte, c’est qu’en Allemagne, il existe une forte réserve de voix pour une résurgence du nazisme et cette réserve n’ose pas s’exprimer ouvertement pour l’instant. C’est normal d’ailleurs, puisque les nazis ont perdu la guerre sur le terrain. Mais ils ont gagné la guerre spirituelle, puisque tout le monde parle du privilège blanc. Personne ne parle du privilège cancéreux ou du privilège mongolien. Et comme ce privilège n’est ni social, ni financier, on ne peut qu’en déduire qu’il s’agit d’un privilège génétique. Les verts ne sont jamais que des wokes, c’est à dire des blancs dont le privilège blanc est annihilé par toute une série de tares rédhibitoires. Si je suis mongolien et blanc, mon privilège blanc ne vaut pas grand chose au regard de mon handicape mongolien. Les wokes ne font que se venger par pur ressentiment. La simple idée que certains blancs puissent être heureux d’être blancs les rend verts de rage. Au moins, avec les Noirs, ils se sentent au niveau. Presque supérieurs, en fait. Ce sont les tarés qui rêvent de métissage, histoire de diluer leurs tares dans le sang certes primitif des Africains, mais un sang vigoureux. C’est bien connu dans l’élevage canin : on pratique le croisement pour régénérer la race quand celle-ci périclite. Autrefois, les individus inaptes au mariage entraient dans les ordres, maintenant, ils préfèrent se métisser. Mais bon, les Nazis sont là, qui méditent en douce de les exterminer. C’est normal qu’ils se méfient des Nazis... Mettez-vous deux minutes à leur place. Personnellement, je n’ai pas souvenir d’avoir vu dans les divers documentaires historiques beaucoup de SS qui ressemblaient à des patates. Par contre, beaucoup de femelles wokes sont obèses en plus de se comporter comme des harpies. Même les Nègres s’en méfient. Ils préfèrent violer de jolies petites Aryennes et les découper en rondelles après. Et c’est ça qui met hors d’elles les harpies wokes : elles aussi aimeraient qu’on les viole...