Il ne reste pour Macron, pour désengorger Paris, et s’éloigner de la Seine Saint-Denis dont les islamo-racailles imperméables à la théorie du genre débordent de plus en plus jusqu’au Fouquets, qu’à déménager la capitale nationale à la Fistinière, ville beaucoup plus petite et beaucoup plus écolo. En une deuxième étape il pourra faire tomber, en grande première mondiale, la toute dernière entrave à la jouissance en donnant le grand assaut final au tabou qui pèse toujours sur les relations amoureuses entre adulte et enfant.

Vu qu’il s’agit d’un très gros suppositoire à insérer, il devra une fois de plus prendre la méthode du Père Castor : faire nécessaire barrage à la haine antisémite. Axiome premier : si l’anti-sionisme pro-palestinien est le stade avant-coureur de l’antisémitisme, l’anti-pédophilie en est le stade suprême. La preuve en est qu’Alain Soral fut inculpé beaucoup plus durement pour s’en être pris à Pierre Bergé, le sugar daddy suprême de la France promu au rang d’intercesseur obligé de tous les artistes désormais, qu’à tout le CRIF lui-même. Les statistiques de l’INSEE seront là pour prouver que toutes les variables aléatoires en corrélation positive avec l’antisémitisme le sont encore plus fortement avec l’anti-pédophilie.

En conséquence de quoi même s’il faut le faire avec le nez bouché, il faut faire le grand effort de tolérance sur soi d’accepter les unions pédophiles. Alors là on pourra annoncer au grand public que dans la démocratie la plus parfaite qui fût, celle de l’ancienne Athènes, nul ne parvenait au rang de citoyen votant sans passer par l’agôgê, l’Initiation allant de l’âge pré-pubère aux premiers poils de barbe, qui consistait à servir d’objet d’amour à un mentor nommé par la cité appelé alors indifféremment pédagogue ou pédéraste. En conséquence de quoi nul ne sera plus autorisé à passer le Bac sans avoir fait l’essai des deux orientations sexuelles avant d’avoir fait en toute objectivité le choix de son orientation.

La Sorbonne sera alors rebaptisée l’université Cohn-Bendit, de même que le Boul’ Mich’. L’Église Saint-Germain des Prés, à la manière des églises des temps soviétiques, sera reconvertie en Musée du Puritanisme et de la Révolution Sexuelle, consacrée principalement aux horreurs vécues par les populations du temps du règne des curés castrateurs.