A. Soral disait dans son oeuvre "Vers la fémininsation" qu’il allait se méfier du génie génétique...
La théorie de la dangerosité de la protéine Spike me semble douteuse et je la suspecte de servir de paravent à l’oxyde/hydroxyde de graphène qui lui serait le vrai poison ! désormais présent dans bcp de corona-produits (masques, tests, vaccins, gel et autres produits antiseptiques médicaux - vive le bon vieil alcool, ...)
Le meilleur candidat parmi les suspects pour expliquer les pathologies observées : multi-organes, affinité magnétique, empoisonnement du sang avec effet vasculaires.
Les contre-arguments comme quoi cette courte séquence de code génétique n’est pas suffisante à prouver la main humaine ne sont pas totalement dénués de sens..
Si je me rappelle bien mes cours du lycée :
. il n’existe aucun codon de synchronisation (mais plutôt des séquences longues ?) pour indiquer/faire reconnaître un début - fin de gène / locus
. La majeure partie du code génétique n’est pas codante (pour des protéines) !!!
. Et puis techniquement, comment les laborantins maîtrisent-ils ce qui se passe à l’intérieur d’une cellule ou d’une bactérie pour être certain du contenu du code génétique du virus ?
. OK, on a la PCR pour amplifier mais cela ne dit pas comment lire le code par ailleurs, car ils ne le font pas au microscope...
Je veux bien qu’on éclaire ma lanterne sur ces points.
Enfin, pour faire réfléchir, on en est à un point où le coronavirus pourrait ne jamais avoir existé que ça ne changerait rien (covid = grippe saisonnière) ; le mensonge est partout et trop grand.
La synchronisation des centres de pouvoirs (médias, ministères santé, éducation, ..., OMS) à l’échelle internationale étant plus importante que les preuves classiques ou formelles.