Il est notable qu’il n’aborde jamais les effets secondaires nocifs des injections géniques, ni des vaccins en général. Pourtant, cela fait partie des observations auxquelles il dit se référer en premier lieu.
Se cantonner au niveau extérieur de la crise conduit à incohérences et des limites dans l’interprétation.
En effet, cette histoire peut être interprétée façon poupées russes :
Extérieurement, l’opération Covid est une pandémie qui a engendré un certain nombre de décisions.
Mais pourquoi ces dernières aboutissent-elles à l’exact inverse de ce qui était recherché sans que cela change quoi que ce soit ? Si le virus était si dangereux et les "vaccins" si efficaces et sans danger, pourquoi faudrait-il utiliser les chantages ? Quel est le but de l’opération si ce n’est pas de lutter contre un virus ?
Accéder à la deuxième poupée, c’est démonter le narratif du virus et du vaccin salvateur...
A qui profite le crime ? Sans aucun doute, à l’industrie pharmaceutique et aux pouvoirs étatiques qui étendent leur emprise. A ce niveau, on comprend que des liens de corruption, une mainmise sur les administrations, sur la médecine et les médias, ont permis la situation actuelle. Et la fuite en avant vaccinale...
Mais n’est-ce qu’une question de profits financiers ? Quelle est la fonction de ces injections appelées "vaccins" qui ne protègent pas et qu’il faut renouveler tous les trois mois ? Accéder à la troisième poupée c’est prendre en considération les conséquences, les gigantesques changements intervenus en vingt mois dans nos sociétés, en particulier la convergence de toutes les lois vers un totalitarisme sanitaro-numérique.
L’argent et le pouvoir. Mais les gouvernants ne peuvent ignorer que les injections géniques ont des conséquences jamais constatées lors des précédentes campagnes de vaccination. Et pourtant, ils continuent. Force est donc d’admettre que les décès sont aussi un objectif de cette opération. Pourquoi ?
C’est ici qu’il faut découvrir, avec la quatrième poupée, les fondements politico-religieux du mondialisme...