Personnellement, je ne crois plus rien de ce qu’ils disent, je suis même persuadé qu’il n’y a ni virus, ni variants à l’heure actuelle, leur pétard mouillé s’est greffé avec les statistiques de grippe saisonnière et les médias ont fait le reste du travail.
Comment un virus se propagerait-il a une telle vitesse s’il n’est pas aidé ? Entre l’émergence de ce "variant" et la contamination de quasi toute la planète il n’y a pas deux ou trois mois). Même en faisant exprès de le propager, c’est temporellement impossible. Pourquoi personne ne pose cette question ? La réponse ? C’est une guerre à la Don Quichotte contre un ennemi invisible ou carrément imaginaire.
La science, la vraie avec le recul et la remise en question, voire le rejet de tout ce qui n’a pas de fondement vérifiable et critiquable est absente depuis le début de ce sketch. Si elle l’ouvre, on tue socialement ou littéralement, c’est l’omerta. Ce qu’ils utilisent pour fonder leurs injonctions est la pure définition du charlatanisme. Après "omicron", nous aurons droit à "mu", "iota", "nu", "alpha", "tau","iota" qui revient avec "omicron" et "nu". Leur comédie est fondée sur un dogme.
Quelle ironie : les mêmes raisons qui ont aidé la science à évincer l’église s’appliquent désormais à la science. Peut-être qu’au fond c’est un problème lié à l’avidité du pouvoir, surtout quand celui-ci est incritiquable sous peine de châtiment.
Pour ceux qui accordent encore du crédit au récit médical officiel, sur ça comme sur tout le reste (maladies chroniques, cancer, SIDA) - qu’il faudra reconsidérer ou à défaut jeter avec l’eau du bain, et ben... bonne chance.
Enfin, leur sortie de crise n’est rien d’autre qu’une issue de secours au cas ou leur plan tournerait au vinaigre, après, si la pression retombe un autre variant émergera d’un chapeau de lapin.