Grand blabla depuis des années sur la question transgenre et aujourd’hui la tendance médiatique, toujours avec le soutien d’une certaine catégorie de toubibs qui y voient forcément une aubaine de gros gains, est donc de faire passer cet acte pour normal.
Si la transformation organique des apparences (amputation génitale et greffes délicates suivies de "réparations" multiples pour les unes comme pour les uns) fait croire au "miracle", il n’en reste pas moins que l’ensemble de l’organisme, lui, conserve jusqu’à la dernière cellule son genre.
Un homme transformé en femme n’aura jamais d’utérus et encore mois le mécanisme absolument géniale qu’un organisme de femme déploie lors de la procréation. Idem pour une femme qui "tait" la chaîne hormonale féminine en s’injectant toute sa vie de la testostérone et qui n’aura jamais no testicules ni prostate et encore moins de pénis digne de ce nom ;-)
Rejeter son genre relève bien d’un réel probléme psychologique lié à la question de l’identité. La "déconstuction" intentionnelle de tous les repères (re-Père) de la filiation, de la fonction symbolique des parents, du féminin et du masculin par les déconstructeurs de la société du chaos sert exclusivement le bonheur des très gros profits... le capitalisme intégral est toujours en arrière-plan et les victimes sont ces pauvres gens paumés avec eux-même.