Cette ère covidique post moderne que nous vivons aujourd’hui est bien la preuve que Soral a raison sur le fait que la plus grande violence qui opère (et depuis toujours) c’est le capital, les castes dirigeantes contre les peuples.. Et que tout le reste, le racisme versus l’antiracisme, le féminisme contre le machisme, l’écologie contre les pollueurs, les z’homos contre les z’hétéros.. c’est juste de la distraction, du folklore. Une façon de cliver la société, afin d’accoucher de communautés et de de les monter les unes contre les autres ; pour mieux diviser tout le monde, et pour réorienter tout le monde vers des combats qui sont des leurres.
Je suis Charlie était pour moi le synonyme, l’echo de : "Debout les (benêts) républicains bien formatés et bien conformistes, la démocrassie est en danger à cause des méchants complotistes" ; Par le truchement d’un attentat sous faux drapeau fomenté depuis les plus hautes sphères de la finance (suivez mon regard) ; Et à une période où les peuples commençaient à sévèrement grogner et à devenir très dangereux pour eux.
Tout ça a probablement politiquement commencé, me semble t-il, avec la (énième) trahison socialiste de Mitterrand en 1984 et le virage libéral. Mais dans l’administration, la haute administration, la trahison aurait commencé selon P. Y. Rougeyron sous Giscard, avec des hauts fonctionnaires qui auraient commencé à privilégier leurs propres intérêts personnels (avec l’argent des Français) plutôt que l’intérêt commun.
Soral a donc, je le répète, raison !