Coronacircus et ingénierie sociale : de provax actif mais non vacciné à repenti touché par le covid
21 décembre 2021 16:43, par Gopfdami
La réalité que je vis, (et pas la réalité Des grands-medias).
À l’hôpital public, dans un sercice, 1 soignante suspendue, 1 soignante démissionnaire, 1 soignante en arrêt maladie pour dépression (à cause du chantage covid à l’emploi), 1 soignante suicidée il y a une semaine (à cause de sa suspension depuis septembre), 6 soignantes et 1 médecin triples vaccinées en arrêt maladie 10 jours car malades du covid (asymptomatique ou symptômes d’une grippe sans gravité !). Pour que le service fonctionne la direction est obligée de faire venir des renforts d’autres établissement (du même groupe hospitalier) situé à plus de 40 km, des personnels ayant une formation médicale mais exerçant parfois dans l’administratif (secrétaire - cadre - direction - RH) et plus directement dans le soin depuis un certain temps ! Le pire, malgré le plan blanc décrété par les autorités, il n’y a pas de service covid spécial ouvert dans l’établissement car il n’y a pas d’hécatombe de malades covid en réanimation ou service intensif ! La galère des soignants qui bossent, c’est la surcharge de travail par manque de personnel (entre les vaccinés malades covid à la maison et les suspendus) et les protocoles de délire (notamment de désinfection des locaux) dès qu’un patient asymptomatique présente une PCR positive !