Je n’ai d’intérêt pour les filles mignonnes que si elles me sont acquises. En dehors de ce cadre, les croiser m’angoisse, les entendre m’ennuie, j’ai du mal à les prendre au sérieux et je ne parviens pas à avoir d’empathie pour elles.

Elle se dit dépressive. J’ai l’impression qu’il y a un quiproquo au sujet de la dépression, certain(e)s qualifient de dépression leur vide intérieur, d’autres au contraire qualifient de dépression leur lassitude absolue d’être les seuls à posséder une intériorité dans un monde où tout est faux. Certaines "dépressions" relèvent ainsi de l’hystérie, d’autres au contraire sont une communion avec la passion du Christ.