Même si on peut comprendre une certaine stratégie relevant d’une certaine malice à utiliser le peu de levier institutionnelle qui reste à notre disposition et ainsi montrer le peu de cohérence des décisions gouvernementales, cela reste in fine de la gesticulation juridictionnel par l’utilisation d’un droit sur le fond très hypocrite.
Le présupposé qui fait office de dogme qu’un virus ayant été isolé (ce qui n’est pas le cas) et donc responsable d’une nouvelle maladie appelé Covid n’étant établie qu’à travers le discours gouvernemental et les médias, suffirait à lui seul à dynamiter le fantasme pandémique.
Le rapport de la TIH quant à lui relativise pour ne pas dire enterre les mesures absurdes Test-confinement-masque censés éviter l"engorgement hospitalier qui lui aussi n’a jamais existé en dehors de sa couverture médiatique. Lorsque cela a été le cas à un certain moment et dans certains centre hospitalier (bien identifié), cela a été engendré par les décisions du ministère de la santé et ses relais au sein des administrateurs collabos qui ont sciemment contribué à désorganiser des structures de santé déjà très mal en point.
Que dire des protocoles appliqués en EHPAD dont les résidents sont les plus à risque : refus d’accès à l’hôpital, confinement avec interdiction même d’aller prendre l’air, traitement au Rivotril (contrindiqué en cas d’infection respiratoire) puis vacciné par extorsion de consentement sur personne vulnérable ?
Bref la liste est tellement longue et suffisamment exhaustive en terme de faille pour ne pas dire pénalement répréhensible que j’ai de plus en plus de mal à comprendre que l’on s’obstine à ne pas mettre les pieds dans le plat une bonne fois pour toute.
Ce langage technique et politiquement correcte, bien Français, relativisant des faits d’une gravité rarement atteinte en terme d’échelle m’insupporte de plus en plus.
Espérons que cela ne sera pas contre-productif au final parce qu’en face ils sont non seulement tenace mais aussi de plus en plus dangereux !