@Bayinnaung

Vous en restez toujours à l’image d4epinal de BJ présenté comme un grand libéral, alors qu’il ressemble plus à un cynique monstrueux qui vaut bien son mentor David Cameron dont il a d’ailleurs été ministre du shadow government. Vous avez peut-être remarque comment l’affaire Greensill a été rapidement enterré sur intervention directe de BJ. On chercherait en vain une trace de libéralisme dans l’action du gouvernement BJ qui aurait pu justement profiter de l’occasion de la "pandémie" pour se démarquer nettement de l’Union européenne. Au lieu de quoi il a surenchéri constamment dans la vaccination et dans le traçage numérique. Idem pour la politique financière avec l’idée de la Singapour européenne rapidement abandonnée devant la menace de la suspension des liquidités en euros généreusement maintenues par la BCE aux banques anglaises. On pourrait aussi citer la politique migratoire qui n’a pas changé si ce n’est pour les expatriés du Continent. Par contre les flottilles de migrants continuent à franchir la Manche comme si de rien n’était. Le soutien monétaire offert par la BOE à l’économie britannique est aussi délirant que celui de la BCE, avec une création monétaire à coups de trillions qui revient à la nationalisation complète de l’économie anglaise. Donc pas une trace d’affranchissement du centralisme bureaucratique de Bruxelles, mais au contraire une surenchère inquiétante, qui donne le ton des décennies à venir, quoi que le futur paraît bien compromis par des choix mortifères. Encore une fois, BJ n’a jamais exposé de plan de démantèlement des directives européennes transposées en droit anglais, ni même exposé en quoi consistait sa vision de l’avenir, si ce n’est dans des termes vague laissant croire au retour au libre-échange, avant de coffrer les britanniques à la maison.