Et si on balaie devant sa porte. Si on parlait du genocide des vendéens qui a concerné même les bébés. Des projets de loi de la reconnaissance de ce genocide ont souvent été portées devant le parlement sans aucun succès
Petit rappel :
Le Génocide franco-français (sous-titré La Vendée-Vengé) est un essai historique de Reynald Secher portant sur la guerre de Vendée (1793-1800) et la Révolution française publié en 1986 aux Presses universitaires de France, puis réédité le 17 août 2006 par Perrin.
Reynald Secher énumère les différents moyens -industriels mis en œuvre par le Comité de salut public et de la Convention montagnarde :
aux Ponts-de-Cé, des sacs sont réalisés en peau d’homme ou de femme, des pantalons de gendarmes sont confectionnés en peau humaine,
les fours à pain sont utilisés pour brûler vifs les villageois, aux Lucs-sur-Boulogne la crémation a lieu dans l’église,
des camps d’extermination sont établis à Noirmoutier,
des essais de gazage infructueux sont réalisés par le chimiste-député Antoine-François Fourcroy, puis par le pharmacien Joseph Louis Proust qui a mis au point un dispositif utilisant une boule de cuir,
des bateaux sont coulés dans la Loire ce sont les « noyades des galiotes », les « mariages républicains » consistent à dévêtir puis à lier par couple hommes et femmes avant de les noyer à Nantes,
à Clisson, la graisse est extraite par carbonisation des villageois, elle est utilisée pour faire du savon.
Ce que la Ripouxblique a fait au peuple français , les moyens d’extermination des Vendéens mis en œuvre préfigurent ceux des régimes totalitaires du xxe siècle, qu’il s’agisse de l’écrasement de la révolte de Tambov par Lénine (Tambov est alors qualifié en russe de « Vendée »), ou du génocide khmer rouge perpétré sous Pol Pot au Cambodge