Derrière le positivisme bourgeois, la prédation kabbaliste
2 avril 2021 21:08, par Une question
@Alain Soral
Cher Monsieur Soral, j’ai écouté attentivement les vidéos dans lesquelles vous parlez de votre nouveau livre et je vous remercie beaucoup de vos lumières. Je vais bientôt l’acheter.
Il y a une question (pardon si elle a déjà été posée) qui me trotte dans la tête depuis plusieurs jours c’est la définition de ce que vous appelez la bourgeoisie. En effet lorsque j’y pense je trouve qu’il est difficile de prendre la bourgeoisie comme un ensemble homogène monolithique. Par exemple, il y a beaucoup de gens qui ne sont pas des prolétaires, je pense aux professeurs, notables, directeurs de tel ou tel organisme, ingénieurs... et la liste est très longue mais qui ne sont pas non plus à inclure dans le groupe des exploiteurs au calcul égoïste, de la raison matérialiste (beaucoup sont chrétiens) de l’exploitation violente...pourtant tous ces gens par opposition aux prolétaires, en tant que lettrés ou sachants et dans une position plutôt dominante peuvent être qualifiés de bourgeois ou petits bourgeois.
Si l’on ne retient que la classe dominante depuis la révolution, le banquier et l’industriel égoïste matérialiste et calculateur dont l’idéologie s’est effectivement imposée à la société moderne, qui est en quelque sorte la bourgeoisie qui domine la bourgeoisie et donc aussi la société alors j’ai l’impression que c’est de cette façon qu’il faut comprendre votre propos, car il me semble difficile de nier qu’il y a aussi une bourgeoisie chrétienne. Pardon si la réponse est déjà en tout ou partie dans la question, pouvez vous m’éclairer sur ce point de ce que vous entendez précisément par Bourgeoisie ?