Le "pass sanitaire" de Macron : enjeux et perspectives
1er mars 2021 01:28, par N.
Souvenez-vous que le corps humain est un ordinateur biologique contrôlable électroniquement.
Une fois micropucés, les individus seront, au gré de l’ordinateur, ou dociles ou agressifs, ou sexuellement actifs ou indifférents au sexe, jusqu’à une mise en veille de leur esprit qui les assimilerait à des zombies.
Si nous nous laissons faire, nous ne serons que des machines contrôlées.
Le micropuçage humain est conçu pour interagir au sein du corps cyber et manipuler ses systèmes électrochimiques - pensées, émotions, état de santé "physique". Ce micropuçage consiste en l’implantation d’un dispositif artificiel capable d’interagir avec le cerveau.
Lors des expériences secrètes qui ont été faites sur des cobayes (des prisonniers, des handicapés et autres) les fonctions cérébrales des êtres humains implantés sont "monitorées" à distance à l’aide de superordinateurs et même modifiées en jouant sur les fréquences.
Le plan consiste à implanter les micropuces partout dans le monde, à commencer par les bébés à la naissance.
A partir du moment où les nouveaux-nés reçoivent l’implant, nulle conscience ne peut appréhender cette réalité sans subir l’effet de la puce qui l’altère.
De nos jours, les micropuces sont activées par des trains d’ondes basses fréquences dirigés sur elles. A partir des satellites, les individus porteurs d’implants sont "traçables" partout sur la planète.
Ses protagonistes disent être en mesure d’"interfacer" organisme et calculateur, ce qui va de soi puisqu’il s’agit en l’occurrence de connecter deux ordinateurs entre eux.
Au nom de ce que vous avez de plus sacré, dites NON au micropuçage.