Ce type de guerre n’est plus envisageable aujourd’hui car les rapports de force avec la puissance nucléaire ne le permettent pas à moins d’un désastre planétaire.Alors que tous les signaux économiques sont au rouge en occident, à l’exception de la bulle boursière qui ne cesse de gonfler artificiellement jusqu’à son éclatement imminent.. La guerre totale qui autrefois permettait le "processus "démolition-reconstructiion" est aujourd’hui remplacée par ce que les ingénieurs nomment "le grand Reset"... Une guerre larvée des puissances financières contre les peuples. Leur arme de destruction massive pour détruire le système actuel parvenu en fin de course consiste en la création de toutes pièces d’une aggravation de la crise, qui avec les moyens d’ une guerre bactériologique vise à soumettre les populations à de nouvelles règles restrictives et un nouveau paradigme numérique dictatorial. Les moyens mis en place ne sont plus de l’ordre d’un épandage de produits toxiques ou d’un séisme atomique dont la riposte serait immédiate. Il s’agit en revanche d’orienter le conflit vers la guérilla civile qui serait un formidable prétexte pour imposer toutes les solutions sécuritaires déjà prêtes et qui n’attendent que la révolte des nations pour la mise en place de la gouvernance mondiale.. toutes les mesures qui nous sont imposées actuellement sous de fallacieux prétextes visant à provoquer soit une révolte violente, soit la soumission. Les deux options mèneront au même résultat. Cette stratégie de division et de confusion entretenues par une manipulation médiatique et politique sans bornes devient tellement grossière qu’il faut être aveugle pour ne pas la voir et ne pas la comprendre. Alors quelles solutions ? selon moi il n’y en pas d’autres que l’insoumission du plus grand nombre contre le projet de vaccination qui n’est rien d’autre que l’outil qui enchainera l’humanité sans possibilité de retour ; la vaccination telle qu’envisagée avec un procédé de contrôle numérique est une prison invisible mais dont il n’est pas possible de sortir..sauf à admettre sa condition d’esclave.