Message à l’équipe d’ER : pourriez-vous faire une enquête sur les travers de la discrimination positive aux EU ?
On nous prépare à une discrimination positive. Comme aux EU, que je connais bien.
C’est à dire, attribuer des fonctions à des incapables qui n’auraient pas passer le même concours, les mêmes diplômes que les autres candidats.
S’il y a peu de noirs ou d’arabes dans ces fonctions, c’est simplement qu’ils ne se sont pas présentés aux concours ou qu’ils n’ont pas assez travaillé pour être à la hauteur de ces concours.
Il y a bien des médecins noirs et arabes dans notre pays. Ce qui prouve que lorsque l’on veut faire des études en FRANCE, c’est possible. Faut juste être à la hauteur et bosser.
S’il y a des difficultés, elles ne sont pas raciales mais sociales. Un blanc pauvre aura les mêmes difficultés pour accéder à certaines fonctions mais lui ne sera pas concerné par la discrimination positive.
Ce qui creusera le fossé entre les communautés et contribuera au racisme.
La FRANCE donne ses chances à tous ceux qui travaillent et s’en donnent les moyens.
J’aimerais bien que l’on se souviennent de tout ce que la FRANCE nous donne tout au long de notre vie :
EDUCATION GRATUITE (école)
ACCES ET EGALITE AUX SOINS GRATUITS
ETUDES UNIVERSITAIRES GRATUITES !
AIDES SOCIALES
Tout ceci est payant dans la plupart des pays.
Vous remarquerez que j’utilise le terme FRANCE que l’on entend de moins en moins et non pas république.
Cette stratégie de discrimination positive fait partie d’une société multiculturelle, sans tradition, sans histoire.
Aux EU, où la discrimination positive existe, la conséquence c’est que les gens évitent de consulter un médecin noir sous prétexte qu’il ne serait pas aussi compétent qu’un autre.
Tout ceux qui se plaignent de la FRANCE, devraient aller passer quelques vacances dans leur pays d’origine et voir ce qui s’y passe.
J’aimerais bien que les français d’origines étrangères soient conscients du danger du racisme qui pourrait naître de toutes ces divisions.
Que l’on vienne pas me taxer de racisme, je suis en partie d’origine étrangère.