Pour comprendre pourquoi ce genre d’insanité existentielle est simplement possible il faut d’abord se souvenir que nous sommes une variété de singes : tout dans notre tête est singerie, la pensée est singerie, imitation mentalisée du réel. Le problème de la singerie est qu’elle est toujours fausse, elle n’est jamais "le vrai truc", elle est simulation mentale hypothétique. Ca induit une angoisse structurelle, avec son corollaire une soif immense de certitude. La certitude est trouvée ici : l’homme est un singe mais un singe de troupeau et qu’est-ce qu’un troupeau pour un animal à idées ? Le Bien, le fouet idéologique qui fait troupeau et donne la sensation aux gens d’être dans le vrai.

Personne ne peut définir un Bien qui ferait le troupeau humain global, sauf un seul type qui pour notre plus grand malheur l’a fait, le messie juif, qui a dit que le Bien c’est des derniers qui sont des premiers et le Mal des premiers qui sont des derniers. L’ultra-toxicité de cette rhétorique d’inversion morale qui inonde quasiment toutes ses paraboles et qui est en fait pure expression de sa mentalité d’inversion ethnique a été a peu près contenue par l’église pendant 2000 ans mais maintenant que le contrôle moral de l’église -qui n’était pas d’origine messique subversive mais d’origine naturelle ex. : défense de la famille là où le messie juif dit qu’il est le glaive venu détruire les familles- n’existe plus, le vrai visage subversif ultra-toxique de sa morale inversée s’exprime à ciel ouvert : ce type n’a pas d’identité sexuelle, il n’est absolument rien sexuellement, il a une identité de troupeau messique post-moderne : il est un LGBTx c’est à dire un hyper-dernier messique martyrisé par des méchants premiers racistes-homophobes-antisémites et à ce titre défendu par toute la puissance du troupeau c’est à dire la violence d’état via les lois de censure.

C’est cette certitude là qui est son identité.