Laurent Berger (CFDT) suggère un "impôt exceptionnel" pour faire face à la crise
22 avril 2020 11:14, par awrassi
Les syndicats de travailleurs ont toujours été "anti-révolutionnaires". Le capitalisme et le communisme sont antinomiques. Mais il s’est trouvé parmi certains leaders prolétaires,comme Jean Jaurès, des révisionnistes qui ont établi avec le patronat une lutte des classes scalaire, dans laquelle les syndicats sont devenus des "partenaires sociaux". C’est ainsi qu’est né le "socialisme" (dont la SFIO a été le fer de lance). Le syndicalisme sert plus le capitaliste qu’il ne dit. Regardez tous les syndicats des pays européens. La CGT, par exemple, qu’on dit communiste, est un partenaire social très amical, qui vit de ses adhérents et des subventions étatiques. Elle a renoncé, il y a très longtemps à la lutte contre la propriété privée des moyens de production, condition sine qua non du marxisme ... Les syndiqués participent à la survie du capitalisme, qu’ils ne veulent pas combattre réellement. Ils resteront des esclaves aveugles ou des opportunistes. Deux types de sous-homme.