Le Saint-Suaire de Turin : cinq arguments en faveur de son authenticité et de la résurrection du Christ
19 avril 2020 07:35, par SOCRADE
Faudrait faire une étude isotopique. Le niveau d’information récupérable par ce genre d’étude est stupéfiant : à partir de traces infinitésimales d’isotopes d’uranium et de ses produits de dégradation les scientifiques ont déterminé qu’il avaient existé des réacteurs nucléaires naturels il y a deux milliards d’années, époque ou l’uranium radioactif était beaucoup plus riche, pouvait se concentrer et démarrer la réaction de fusion. Le niveau de précision est hallucinant : quantités d’uranium brûlées, températures atteintes, durée des scycles de régulation par l’eau : incroyable.
Donc s’il y a un rayonnement capable de rajouter du carbone 14, ce qui est un ajout de neutrons donc une réaction nucléaire, il doit avoir pleins de traces complémentaires.