« La querelle entre Rousseau et Voltaire à propos du tremblement de terre de Lisbonne est révélatrice, rappelle Dominique Bourg, philosophe et professeur honoraire à l’Université de Lausanne. Rousseau, en refusant le fatalisme, préfigure la modernité. Celle-ci s’installe définitivement dans la société occidentale de l’après-guerre. »
C’est totalement faux, ces universitaires sont des ignorants.
Il y a toujours eu en France une politique de santé publique, le premier hôpital public du monde a été fondé au VIe siècle à Marseille. Autre exemple, il y avait depuis le règne de Saint-Louis des enquêtes d’utilité publiques appellée "de comodo incommodo" avant d’autoriser la construction d’installations nuisibles pour la santé ou l’environnement, comme les tanneries ou les moulins dans les rivières. Il y avait des annonces par crieur et des affiches pour inviter la population à faire ses observations dans des registres publics. Il y avait des écoles de médecine comme le montre le somptueux immeuble de celle de Paris place del’Odéon, il y avait une académie de médecine, et on peut voir les hôpitaux magnifiques qui ont été construits avant Rousseau, comme l’hôtel-Dieu de Lyon, ou l’hôpital de la Marine de Rochefort.
L’hôpital Saint-Louis à Paris a été construit pour lutter contre les épidémies sur décision du 17 mai 1607 de Henri IV pour servir d’extension à l’Hôtel-Dieu.
Il restait vide et il permettaint, en cas d’épidémie, d’y mettre à l’isolement tous les malades contagieux de l’Hôtel-Dieu.
Sous la royauté, la France pouvait se permettre d’entretenir des immenses hôpitaux vides pour servir en cas de crise. L’hôpital Saint-Louis n’a été ouvert que cinq ou six fois avant la Révolution.