D’abord, une épidémie de ce genre, démarrant à Wuhan et gagnant le monde, a été décrite très précisément dans un livre dont on parle de plus en plus.
Et puis il y a Bill Gâteux, le fameux liquidateur de populations et de bouches inutiles à la seringue de Mort-au-rats, qui a présenté deux ou trois mois avant le déclenchement de l’opération, une simulation de pandémie s’échappant de Wuhan et gagnant le monde au grand galop.
Ensuite, le ‘virus corona’ (cojones ?) est difficile à détecter. Parfois, il apparaît subitement au 5ème ou au 8ème test. De mauvaises langues ne manqueront pas de dire que, si ce test est aussi efficace que ceux qui détectent le VIH imaginaire, on va trouver los cojones virus chez les femmes enceintes, les enrhumés, les courbaturés, les grippés du bulbe…
Et puis le fait élucidant : Le problème a surgi dans une ville célèbre pour la nocivité de son atmosphère due aux pollutions industrielles en tous genres, et aux pratiques dangereuses de récupération des métaux précieux ou autres dans les déchets électroniques.
D’où la suspicion et les questions qui vont avec : Est-on sûr que les victimes meurent bien du cojones virus ? Qui déclare que les morts sont victimes du cojones virus ? Faut-il croire l’OMS sur parole après ses coups fourrés au H1N1 ?
Et la conclusion imparable : En toute logique, los cojones virus est un coup monté par quelqu’un qui s’est inspiré du livre évoqué ci-dessus. L’opération vise à affoler les populations pour, sans doute, leur vendre plus tard des vaccins obligatoires à la mort-au-rat. Quant aux victimes, elles succombent des maladies ordinaires, grippes, pneumonies… en quantité pas plus grande qu’à l’ordinaire, sauf peut-être les Chinois de Wuhan, qui sont aussi victimes de leur pollution industrielle.