Je ne suis pas physicien. J’essaie de comprendre ce que dit Roby, par exemple, il suppose qu’une quantité de chaleur initiale déterminée est libérée d’une masse inerte. C’est bien ce qui se passe avec sa tasse d’eau chaude. Mais que se passe-t-il si la combustion se poursuit sous les décombres ? Si de l’énergie est constamment ajoutée à cette masse ? Est-ce que ça fait une différence ou pas ? Le refroidissement et la combustion, c’est les mêmes lois ? Roby connaît-il la masse des matériaux brûlant dans les décombres du WTC ? Leur nature, leur structure ? Dans son exemple, sa tasse n’est pas couverte, est-ce que cela change quelque chose pour ce qui est du temps de refroidissement ? De plus, y a-t-il une différence entre une image infrarouge (prise en surface) et un relevé de température souterraine ? Et la différence de température n’est pas constante... la température change du jour à la nuit et de l’automne à l’hiver. Les ordres de grandeur, d’accord, mais en multipliant les approximations de deux, trois, quatre facteurs, on finit aussi par obtenir un écart d’ordre de grandeur. Par exemple :
1h x 1kg x 4 (capacité thermique) x 5 (différence de température) x 2 (surface) = 40
4h x 4kg x 16 (capacité thermique) x 20 (différence de température) x 8 (surface) = 40 960
Le second résultat est 1 024 fois supérieur au premier, du simple fait qu’on a varié des paramètres à chaque fois dans le même ordre de grandeur (jamais plus de 1 à 4 puisque 1h ou 4h, dit Roby, c’est le même ordre de grandeur). Est-ce que de 1 à 1000 on est dans le même ordre de grandeur ?
Et puis ces incendies n’ont pas eu lieu à 75 m sous le niveau de la roche ? Et est-ce que cela signifie quelque chose que la température tombe au moment où s’éteint le dernier incendie ? Ou c’est juste une coïncidence ?
J’aimerais bien qu’on m’explique gentiment... ne me pendez pas, svp.