Les enfants des rues et des camps ne se suicident généralement pas, ou de façon lente, par drogues. En revanche, ils sont facilement récupérés par des tas de salopards, pour : prostitution, durs travaux divers, enrôlement dans une soldatesque cruelle, viols, voire organes. Depuis Dickens et Victor Hugo, et bien avant même, on le sait.
Le suicide d’enfants, c’est occidental et européen, dû à l’enfermement des enfants dans des structures scolaires multiculti sans autorité, où règne le harcèlement, y compris physique (viol).
Il se peut que ces conditions spéciales et calculées soient actuellement recréées dans les camps, en plus pénible évidemment : ethnies incompatibles forcées de vivre dans un environnement inhumain.
dans ces camps, la nourriture est assurée, le vêtement aussi. L’être humain a besoin d’être libre, autant que de pain, pour vivre.
En France, où on se suicide beaucoup, en particulier chez les entrepreneurs aujourd’hui ligotés, on n’est pas libre.