Il y a de toute évidence des liens entre les abus de type MK Ultra et la projection astrale recherchée par certaines spiritualités, notamment la théosophie.
Lorsqu’en 1985, Steven Spielberg reprend pour Disney le monde d’Oz de Baum (en grande partie inspiré par la théosophie, bourré de symboles sexuels et pédophiles), devinez ce qui se passe ? Il en fait un film intitulé Return to Oz, véritable parabole sur les abus MK ultra qui provoquent des états dissociatifs, ce que d’autres appellent la projection astrale...
Et si on allait plus loin ? Est-ce un pur hasard s’il existe bon nombre de films Disney où des personnages (souvent des enfants ou des adolescents, d’ailleurs...), effectuent ce que l’on devine être symboliquement une sortie de leur corps pour rejoindre un monde spirituel/imaginaire ? En voici une liste non-exhaustive :
Thru The Mirror (1936), inspiré de Lewis Carroll,
Alice au pays des Merveilles (1951),
Peter Pan (1953),
Oz, un monde extraordinaire (Return to Oz, 1985),
les trois films du Monde de Narnia (2005, 2008 et 2010. Si C. S. Lewis était un auteur chrétien convaincu, il est évident qu’il s’est aussi inspiré des codes narratifs du Magicien d’Oz)
Alice au Pays des Merveilles (2010),
John Carter (2012. E. R. Burroughs, l’auteur des livres originaux,était un ami du théosophe L. Frank Baum)
Le Monde fantastique d’Oz (2013. Avec le très louche James Franco dans le rôle principal),
Alice de l’autre côté du miroir (2016),
Casse-Noisette et les Quatre Royaumes (2018. L’héroïne passe d’un monde à l’autre en suivant ce que les ésotéristes appellent un "cordon d’argent", lien entre le corps physique et le corps astral, visible à 4:50 dans la vidéo de l’article. Avant son aventure, elle refuse de danser avec son père qui est veuf, mais après elle accepte),
Un raccourci dans le temps (2018)