Le Pr Philippe Lévy : "L’hôpital va s’effondrer comme une barre obsolète de banlieue"
15 octobre 2019 17:53, par Heureux qui, comme Ulysse...
Il suffit d’envoyer un leurre (un Lévy dans le jargon complotiste) et la troupe des dissidents autoproclamés y voit encore les méfaits du vilain capitalisme des laboratoires et autres industriels à l’origine de tous les maux de la planète.
Il faudrait tout de même préciser que si le projet mortifère du NOM s’appuie sur les mauvais penchants de ceux qu’il rétribue, cela ne constitue qu’un moyen et l’origine du problème est ailleurs.
Ainsi, génocider la population mondiale utilise le relais de la "santé" comme tout autre levier permettant d’obtenir le résultat souhaité, rien de plus.
Si l’on décide de fermer un hôpital ou un service, ce n’est jamais non plus pour une question de comptabilité objective. En effet, en jouant sur les clefs de répartition d’une comptabilité analytique obscure, le régime justifie de son action. Un praticien hospitalier honnête qui refuse de bidonner ses statistiques quand l’A.R.S. a décidé de fermer son établissement se verra systématiquement démissionné ou sanctionné. Cela fonctionne ainsi.
Il suffit de placer des crétins bien dociles et serviles à la direction des hôpitaux publics et le tour est joué. Certains seraient ici très étonnés de constater du niveau de qualification de ces clowns...
En parlant d’hôpital public, personne pour s’interroger sur le fait qu’en ex-France les médecins les mieux payés y ont tous leur rond de serviette. Eh oui, quand un praticien hospitalier ne doit théoriquement pas exercer à plus de 20 % de son temps une activité libérale au sein de son établissement, rares ne sont pas les cas où celle-ci dépasse en réalité les 80% ! Aux frais de qui au fait ? A votre avis ?
Il serait en vérité très facile de rétablir l’équilibre économique de nombreux établissements si la caste constituée des nababs des hôpitaux publics ne drainait pas à elle la majorité des ressources en toute illégalité.
Pour rire, savez-vous qu’un médecin chef de service dans le public (un frère 3 points donc) émarge souvent à plus de 100 000 Euros par mois ?
Ah mais non, impossible, les autorités de régulation Veil !