Ce "retrait", c’est comme le débat en France sur le RIC, du temps gagné pour chercher d’autres moyens de continuer de nous la mettre.
Trump ou un autre ça ne change rien, quand vous avez la 1ère industrie militaire, vous avez besoin de les vendre et, donc, de créer continuellement le chaos et, pour cela, étant structuré en réseaux, ils ont une vision à 50 / 100 ans...
A court terme, le "retrait" est, pour eux, l’issue la plus honorable car ils ne peuvent envisager un conflit ouvert avec la Turquie qui, sur le papier, est un "allié" auquel, dans les faits, ils essaient d’imposer une ablation d’une partie de son territoire. Voyez que Poutine, dans ses propos, critique la Turquie quant à la Syrie mais qui, dans les faits, les soutient en ne s’opposant pas à l’opération et en mettant (2fois) son veto aux initiatives Françaises à L’ONU...
En fin stratège, il sait que la république Syrienne n’a pas de meilleure option pour faire revenir les indépendantistes Kurdes, proxy des impérialstes, dans les rangs loyalistes.
Évidemment, militairement, ils pourraient nous écraser pas plus difficilement qu’ils l’ont fait durant la 2ème guerre mondiale à Dresde, Nagasaki ou Hiroshima mais leur inquiétude c’est de briser le plafond de verre en sonnant la fin de l’Otan ce qui, dans l’équilibre des forces avec le bloc Russie / Chine les fragiliseraient et permettrait, pour le coup, d’avoir de vraies révolution colorées chez leurs laquais qui se font racketter à souhait depuis un célèbre passage sur le Quincy avec des dommages collatéraux comme la disparition du pétro-dollar ou encore la disparition de l’entité Sioniste.
Donc soyez sûrs que, s’ils se "retirent", ça n’a rien à voir avec la "liberté des peuples à disposer d’eux mêmes", ce qui assure l’hégémonie de l’empire, c’est sa capacité à constamment être dans le "calcul" et à se créer des alternatives.
Bonsoir la France