Outre éviter à des institutions financières de faire faillite, cet injection massif d’argent sorti du chapeau a peut-être une autre raison qu’il serait bon d’étudier de près.
Pour ce qu’on sait de la finance et de la bourse en particulier elles reposent sur l’utilisation de robots autonomes qui réalisent des centaines d’opérations à la milliseconde.
Les questions sont donc :
Que se passe t-il si, non alimentés en transactions (mouvements d’argent et de titres), ces robots ralentissent le rythme et/ou considèrent à tort ou à raison que plus aucune transaction égal plus d’argent du tout disponible ?
Et en raison de leur autonomie et de leur efficacité dont la finance ne peut plus se passer, ces machines ne risquent-elle pas de provoquer une alerte de défaut de liquidités (donc d’argent disponible) au point de créer une panique généralisée ?
Aussi, ce recours à l’argent facile, fictif et venant des banques centrales tient peut-être aussi au dispositif informatique que les dirigeants ne savent pas stopper et n’osent pas stopper ; même si ça les oblige à alimenter le danger de déstabilisation et de découplage potentiel de l’activité économique réelle des disponibilités d’argent réel.