Affaire Andrieux : l’IGPN contredit le procureur
28 juillet 2019 10:54, par anonyme
Les individus qui décident de faire de la coercition par la violence leur gagne-pain présentent évidemment des profils psychocomportementaux très particuliers ; qui ne font pas partis de ce que le bipède peut revendiquer comme les plus valorisants. C’est pour cette raison qu’ils sont placés sous l’égide très théorique de la protection de leurs contemporains (on sait ce que cela donne dans la réalité...) Rien de plus normal dans ce contexte, que la présence d’individus qui présentent des troubles psychiatriques relevant du sadisme et de la mégalomanie. L’impunité et la toute puissance sont des terrains parfaits pour le service de la névrose. Ce cas précis illustre factuellement parfaitement le propos de façon probante. L’attitude des magistrats en charge de ces faits ne fait que le renforcer. Ici-maintenant des fonctionnaires de police peuvent vous frapper sans raison dans l’exercice de vos droits, mentir sur le contexte, et être protégé par ceux qui sont payés pour prévenir cela. Difficile de descendre plus bas dans l’abjection. La ripoublique, c’est ça. Ce pays est trahit.