Version officielle sur l’incendie de Notre-Dame : une cigarette mal éteinte ou un dysfonctionnement électrique...
28 juin 2019 13:04, par Phiddipidès
Suite du feuilleton :
malgré les affirmations de Rémy Heitz, mondialement connu pour être plus intéressé par la recherche d’un parcours personnel avantageux que par celle de la vérité (voir son parcours préalable, notamment à la tête de l’inénarrable délégation interministérielle pour la sécurité routière), lorsque l’hypothèse grotesque du mégot va, infailliblement, prendre du plomb dans l’aile du fait de son caractère crétinisme, toute la presse va se répandre abondamment sur le fait que l’hypothèse quasi-certaine est un court-circuit !
Court-circuit qui, d’ailleurs, se serait produit dans une zone qui, d’après les propos de B. Mouton, architecte de France en charge de ND pendant des années et fort opportunément muté à l’autre bout de la planète pour une mission dont l’intérêt majeur consiste probablement à ce qu’il ne puisse pas trop l’ouvrir dans la presse, comme il le fit à LCI, serait équipée ou d’un réseau électrique surprotégé ou carrément dépourvu de tout réseau !
Tout çà alors qu’il y a encore un mois à peine, la même presse affirmait que les enquêteurs n’ont pas pu encore rentrer sur le site à cause des dangers d’écroulement ! ... Ces experts doivent donc être dotés de dons médiumniques ou d’une capacité surnaturelle à travailler sur plan !
Prochaine affirmation grotesque à venir : l’incendie est certainement dû à une défaillance de la batterie au lithium de la trottinette électrique de l’archevêque. Ce dernier l’aurait oubliée dans les combles après avoir effectué une ronde à l’aide de ce nouveau, et pratique, moyen de locomotion.