L’extrême droite c’est un gros mot que la gauche républicaine, donc la république, a inventé pour dire que c’était pas bien d’aimer la France car ça voulait dire en creux que vous détestiez la république.
La république (universelle) ayant juré la mort de la France sur ses fonts baptismaux.
Ils ont toujours été très clairs :
Ce qu’il fallait pour avoir la paix et une gamelle c’était adorer (au sens religieux) la république et donc mépriser la France : être antifrançais donc antichrétien donc antiblanc.
Tant pis pour vous si vous êtes blanc, chrétien, Français : vous êtes l’homme à abattre, le neo nazi.
Mais la vérité est évidemment inverse et eux mêmes ne croient même plus à leur propagande (leur catéchisme) :
d’abord sur l’échelle de la cruauté, le blanc chrétien français est un agneau, le nazi un honnête boucher, et le républicain un criminel de masse et d’habitude parce que, lui, à la différence du nazi qu’il a surpassé, même en temps de paix, il tue en masse.
Ensuite et surtout, pour le républicain tout ce qui est en dehors de SON arc républicain est d’extrême droite : l’extrême gauche à ses yeux n’est qu’une forme brouillonne de SA république.
Aussi, pour lui, tout abstentionniste est nécessairement d’extrême droite car plus que tout autre, il est en dehors de l’arc républicain en refusant d’y participer.
Un Gj est d’extrême droite et donc tous les GJ sont d’extrême droite.
C’est pour cela qu’ils ont envoyé Branco de toute urgence : pour ramener (ou abattre) le bétail échappé.
Donc, ne croyez pas que l’ O.P. de la République (O.P. : Ordre des Prêcheurs, frère dominicain) Lebourg nous parle de l’extrême droite : il nous parle seulement de l’avant garde de l’extrême droite.
En fait, de l’avant garde du pays réel.
Si on veut connaitre son nombre, il suffit de compter les abstentionnistes aux prochaines élections de mai :
ce sera le vrai pays réel
celui qui ne fréquente plus les messes républicaines.
ce qu’ils appellent l’extrême droite
soit la nation liguée contre eux.
C’est tout à fait clair : ils ont très peur de nous.
Ils ont raison.