La police : tu l’aimes ou tu la quittes
22 avril 2019 09:19, par GERARD R.L’actuel mouvement des G. J. est (pourrait être) une opportunité inespérée, pour l’ensemble des forces de l’ordre, afin de voir enfin réglé l’arriéré des heures supp. à propos desquelles, ils geignent tant : LA GRÈVE, chaque samedi !!
C’est l’occasion de mettre Castaner et sa clique, devant le fait accompli. Tu raques ce que tu nous dois ou tu vas toi-même, maintenir l’ordre, avec Rastapopulos (Nunèz) et quelques lèche-culs de votre clique qui voudront bien s’y risquer.
C’est aussi l’occasion de clouer le bec, à vos visqueux syndicalistes, qui comme tous les syndicats, toutes corporations confondues, civiles ou non, sont là, pour faire passer la pilule. Pour épauler la hiérarchie (le patron) et pour jouer les éplorés à chaque funérailles, d’un dépositaire de l’autorité publique, suicidé ou non.
Où sont vos burnes, Messieurs le cogneurs patentés, lorsqu’il s’agit de faire valoir vos droits, les plus inaliénables (être dument payés de vos prestations) face à une hiérarchie qui se fout de vos gueules ? Qui vous promet, puis reporte indéfiniment ces paiements ?
Faut-il pour que votre "dignité" et votre éthique professionnelle s’appliquent, que vos familles en pâtissent ? Faut-il préférer de mettre fin à sa propre vie, plutôt que rompre un silence complice, qui exposerait le vrai visage de votre hiérarchie ?
C’est évidemment plus facile, de jouer les Rambo, contre des citoyens-lambda, qui sont généralement au bas de l’échelle sociale et qui ne risquent pas d’intenter la moindre poursuite contre la flicaille, aux ordres d’une bande de truands, qui portent beau, qui vous flatte beaucoup en ce moment, pour mieux dissimuler leur mépris de caste, à votre encontre.
N’avez-vous jamais l’impression, sous ce gouvernement, de n’être QUE les hommes de main, au service d’un gouvernement ultra répressif ? Et qui malgré toute sa répression, échoue à rétablir le retour au calme ?
Pourquoi, vos "protecteurs" syndicalistes ne traînent-ils l’ État devant les tribunaux, afin qu’on vous règle votre du, avec la même spontanéité revancharde, qu’ils y ont assigné un boxeur performant, qui vous a filé la pâtée, à votre tour ? Vous faisant ainsi redoubler de jérémiades, sur les violences que vous subiriez ?
Il y a décidément sacré coup de balais à passer devant la porte des commissariats, avant de jouer les victimes expiatoires et...apparemment si consentantes...