Étrangement, le scandale qui pourrait garantir la non-réélection des Libéraux canadiens est un rare dossier où Trudeau semble avoir partiellement raison.
Toutes les compagnies comme SNC-Lavalin donnent des ’’incentifs’’ aux officiers étrangers pour obtenir les juteux contrats d’infrastructures financés par les fonds souverains. Ils n’ont pas tant fait quelque chose de mal que de jouer le jeu auquel tout le monde joue. Quelle est la différence entre SNC ou Vinci ou Bilfinger ?
C’est bien que ça démontre également la fourberie et les manigances du gouvernement canadien avec à sa tête Justin Trudeau et celui qui contrôle son entourage Gerald Butts. Si tout ça peut avoir l’avantage de provoquer sa perte, tant mieux.
Ce dossier vient s’ajouter aux autres qui minent progressivement les probabilités d’un Trudeau au pouvoir en novembre.
Sa réaction en constat de ses futurs échecs électoraux annoncés et assurés en est une de furieuse multiplication des manipulations pour réduire la visibilité et les opérations des médias alternatifs au Canada et de financer une ligne anti-conservateurs à travers le programme d’aide aux médias traditionnaux de 600 millions. Donc aider les médias papiers et télés en faillite en échange d’un retour d’ascenceur.
Trudeau leur a fermement bien fait comprendre ce à quoi il s’attend d’eux en vue des prochaines élections cet automne.
En réponse, un large syndicat de journalistes, pour mettre en place la ligne de conduite, se met au garde-à-vous et affirme la volonté de ses nombreux membres à devenir le pire cauchemar d’Andrew Sheer, le leader conservateur, tout en l’amalgamant avec le président Donald Trump en adoptant les slogans démocrates ’’resist’’ et ’’resistance’’.