Les "gants plombés" du boxeur Dettinger : la fake news de France Inter et France 2
1er mars 2019 20:08, par Enki@ Locksman #2153112
@ foutagedegueule #2153196
Parfaitement résumé. La situation du Peuple en Gilets jaunes est propice à discerner les deux camps.
Parce que nous engrammons des informations sur cette racaille ripouxclicaine et leurs sbires à tous les niveaux des hiérarchies en tous corps d’Etat (Police, Gendarmerie, CRS, Gouv. fr, A.N. Sénat, Justice, syndicats, journalistes, médias, show-biz etc ... etc ...).
Les Puissances de Vie se font randonneur en mettant les pieds sur une fourmilière : les bestioles sortent dans les rues et d’autres sortent leur fureur, leur violence, leur hargne, leur animosité, leur venin en criant :
c’est pas nous, c’est eux, c’est pas nous c’est eux !
Christophe Dettinger est l’AVERTISSEMENT incarné dans les actes. Il annonce par son geste, le retour de la loi naturelle dont celle de protéger quelqu’un à terre sans défense, sans passer par tous les codes d’interdits de la république irrespectable - on s’oppose pas à un CRS en mission :) Mission de frapper, de tuer ?
Trahison des principes+mise au pied du mur par le retour du réel= plus d’hommes.
Selon la loi naturelle, Christophe Dettinger a porté assistance à cette jeune femme manifestement en danger ?
C’était aux autres CRS d’intervenir et de la protéger de celui d’entre eux qui la frappait à terre et non à Christophe Dettinger. Il était effectivement confronté à une situation d’assistance à personne en danger.
Cet épisode fait sortir la meute de loups de leurs douces forêts tranquilles à l’abri des vrais problèmes du peuple confronté au réel de la Vie.
En fait, ils se foutent des lois élémentaires de la Vie pourtant inscrites dans leurre république à l’agonie. Preuve ainsi que d’autres bien plus dramatiques de l’acharnement contre les GJ.
Sans l’intervention de Monsieur Dettinger, que serait devenue cette jeune femme sous les coups de matraques assénés sans vergogne : violence inouïe.
En péril, menacée dans son intégrité corporelle, chaque coup de matraque réduisait cette jeune femme. Coups pleuvants, elle était ravalée au rang de fœtus, puis d’animal, sans personnalité juridique.
Parmi les CRS, ce jour-là et in situ : que des lavettes. Pas un, pour stopper net leur collègue déchaîné. Pas un.
M. Dettinger fait tomber l’édifice, ses masques : coup de poing dans la gueule de leur république et donc la source policière poursuit dans la calomnie à l’encontre d’un héros ! ...des lâches.